dimanche 30 janvier 2011

Retour en tunisie du chef du mouvement islamiste tunisien Rached Ghannouchi

 Déclare ne pas vouloir accéder à un poste au pouvoir et plaide pour "la liberté de toutes les tunisiennes"
..........Infos ou Intox

Le chef du mouvement islamiste tunisien "Ennahdha" Rached Ghannouchi a regagné dimanche la Tunisie après plus de 20 ans d'exil. Plusieurs milliers de personnes étaient venues l'accueillir à son arrivée à l'aéroport de Tunis-Carthage. 
Agé de 69 ans, Cheikh Rached, comme l'appellent ses proches, arrivait de Londres où il résidait en tant que réfugié politique. Environ 70 de ses compagnons ont fait le voyage avec lui.
Le chef d'Ennahdha avait quitté le pays en 1987 dès l'accession au pouvoir de Zine El Abidine Ben Ali. Ce dernier a fui la Tunisie le 14 janvier dernier et se trouve désormais en Arabie Saoudite.
Rached Ghannouchi avait été condamné en 1991 par contumace à la prison à perpétuité, tout comme la plupart des dirigeants du mouvement, pour avoir tenté, selon les autorités, de prendre le pouvoir par la force, une accusation réfutée par les islamistes.
La foule de ses partisans venue l'accueillir à l'aéroport de Tunis-Carthage emplissait tous les espaces, du rez-de-chaussée au premier étage et jusqu'à l'extérieur.
"Nous sommes tous avec toi Cheikh Rached pour l'avenir de la Tunisie", lisait-on sur une pancarte que tenait une femme voilée, tandis qu'une autre brandie par une jeune fille voilée également proclamait: "Pas lieu d'avoir peur de l'islam", au milieu de chants religieux.
Dès son apparition dans le hall des arrivées, ses partisans ont entonné en choeur "Allahou Akbar" (Dieu est grand), alors que femmes poussaient des you-you.
Les cordons du service d'ordre mis en place par les partisans du mouvement Ennahdha ont été débordés et avaient du mal à maîtriser la situation "par crainte pour la sécurité de leur leader", a lâché l'un d'eux.
A la sortie de l'aéroport, le Cheikh, après s'être adressé brièvement à la foule, est monté à bord d'une voiture escortée par de nombreux véhicules.
A la veille de son retour, cet opposant notoire du président déchu Ben Ali avait assuré qu'il n'envisageait pas de se porter candidat à une élection présidentielle ou parlementaire et qu'il n'aspirait à aucun poste.
"Tout ce que je veux, c'est respirer l'air de mon pays dont j'ai été privé durant plus de 20 ans, prier à la prestigieuse mosquée Zitouna (de Tunis) et saluer le sol de ma partie du nord au sud, bref d'être un citoyen ordinaire", avait-il expliqué.
Comme pour rassurer les femmes qui jouissent en Tunisie de droits uniques dans le monde arabo-musulman, il a plaidé pour "la liberté pour toutes les Tunisiennes à l'enseignement, au travail et à la participation à l'édification du pays qu'elles soient voilées ou pas". AP

DES COMMERÇANTS TUNISIENS VEULENT REPRENDRE UNE VIE NORMALE

Impatients de reprendre le travail après des semaines de manifestations qui ont paralysé Tunis, des commerçants armés de bâtons et de couteaux gardaient samedi l'entrée du marché couvert, repoussant un petit groupe de manifestants.
Les commerçants se disent satisfaits du remaniement ministériel annoncé jeudi, qui a remplacé 12 ministres liés au président déchu Zine Ben Ali, tout en maintenant Mohamed Ghannouchi comme Premier ministre.
"Nous voulons la stabilité. Nous avons maintenant un gouvernement de transition (...) Nous sommes contre le chaos. Ces gens veulent tout changer en un jour", s'insurge Ahmed Oueslati, propriétaire d'une petite mercerie.
Vendredi, la police a démantelé un camp de fortune installé par des manifestants venus il y a une semaine de régions rurales pour réclamer la démission du gouvernement et qui ne se satisfont pas du remaniement.
Difficile de savoir si les manifestants de samedi provenaient de ce camp, ainsi que le pensaient certains commerçants, ou s'il s'agissait de bandes fidèles à Ben Ali tentant d'empêcher un retour à la normale, ainsi que l'affirmaient d'autres.
"Ces gens sont seulement ici pour piller. Laissons le gouvernement faire son travail. Nous n'avons pas d'objection (au maintien de) Ghannouchi (...) Nous avons tenté de parler à ces gens, mais ils veulent un Premier ministre de Sidi Bouzid", s'énerve un commerçant en faisant référence à la ville d'où la "Révolution de Jasmin" est partie après le suicide par le feu d'un jeune diplômé sans emploi.
"Laissez les gens travailler et gagner leur vie. Les gens doivent fermer leur boutique quatre ou cinq fois par jour", crie un autre homme.
Avant l'incident avec les manifestants, les activités avaient commencé à reprendre un cours normal dans les petites rues de la vieille ville.
De nombreuses boutiques avaient rouvert et des ouvriers s'employaient à effacer les graffiti sur le bâtiment de l'ère ottomane abritant la primature.
Lin Noueihed; Nicole Dupont pour le service français

http://fr.news.yahoo.com/4/20110129/twl-tunisie-commercants-mo-bd5ae06_1.html

lundi 24 janvier 2011

bon ben on remettra ce périple à une autre fois !!!
reste plus qu'à chercher une autre destination !!!!!!!!

A BIENTOT LA TUNISIE QUAND MEME !!!

samedi 15 janvier 2011

Chronologie : les 30 jours qui ont fait basculer la Tunisie

 Article tiré de du site web du parisien :
http://www.leparisien.fr/crise-tunisie/chronologie-les-30-jours-qui-ont-fait-basculer-la-tunisie-14-01-2011-1227217.php
Le geste de désespoir d'un vendeur ambulant, un pays qui s'enflamme en quelques jours, et, un mois plus tard, un président contraint de quitter le pouvoir. Depuis le 17 décembre, la Tunisie est secouée par une crise sociale sans précédent qui a fait plusieurs dizaines de victimes et abouti au départ du président Ben Ali. En voici les principales dates.
DECEMBRE 2010
17 décembre. Un jeune vendeur ambulant qui protestait contre la saisie de sa marchandise par la police s'immole à Sidi Bouzid (Centre-ouest).
19 et le 20 décembre. Début du mouvement social contre le chômage et la vie chère à Sidi Bouzid (centre-ouest) en réaction à cette immolation. Violents affrontements entre forces de l'ordre et jeunes manifestants. Début d'une vague d'arrestations.
24 décembre. La police tire sur des manifestants à Menzel Bouzayane (60 km de Sidi Bouzid) : deux morts.
27 décembre.  Le mécontentement contre le chômage des jeunes s'amplifie
28 décembre. Le président Zine El Abidine Ben Ali dénonce une «instrumentalisation politique».
29 décembre. Le ministre de la Communication debarqué
30 décembre. Le gouverneur de la région de Sidi Bouzid est limogé
JANVIER 2011
5 janvier. L'homme qui s'était immolé à Sidi Bouzid décède à l'hôpital
3 - 7 janvier. Violences à Saïda et manifestations à Thala (centre-ouest) marquées par des saccages et l'incendie de bâtiments officiels.
8 -10 janvier. Emeutes sanglantes à Kasserine (centre-ouest), à Thala ainsi qu'à Regueb (près de Sidi Bouzid): 21 morts selon les autorités, plus de 50 selon une source syndicale. Affrontements à Kairouan (centre).
10 janvier. Le président Ben Ali dénonce des «actes terroristes» perpétrés par des «voyous cagoulés» et promet la création de 300.000 emplois supplémentaires d'ici 2012.
11 janvier. Premiers affrontements à Tunis et sa banlieue, poursuite des violences à Kasserine. Fermeture des écoles et des universités.
12 janvier. Le Premier ministre annonce le limogeage du ministre de l'Intérieur, la libération des personnes arrêtées, sauf celles «impliquées dans des actes de vandalisme», et une enquête sur la corruption.
Plusieurs morts dans des manifestations à travers le pays, notamment un franco-tunisien à Douz (sud).
L'armée se déploie dans Tunis et dans la banlieue populaire de Ettadhamen.
Arrestation du chef du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT, interdit).
L'ONU appelle Tunis à mener des enquêtes «indépendantes crédibles» sur les violences.
Couvre-feu nocturne à Tunis et sa banlieue où des affrontements font huit morts (Fédération internationale des ligues des droits de l'homme, FIDH). Les manifestants ciblent les symboles du pouvoir et de l'argent.
13 janvier. Retrait de l'armée à Tunis qui reste quadrillée par les forces spéciales. Un manifestant est tué par balles.
La France se dit inquiète de «l'utilisation disproportionnée de la violence».
Destructions et pillages dans la station touristique de Hammamet (60 km au sud de Tunis).
Dans un discours à la nation, Ben Ali s'engage à quitter le pouvoir en 2014 et ordonne la fin des tirs contre les manifestants. Il promet la «liberté totale» d'information et d'accès à internet et annonce une baisse des prix.
Treize morts à Tunis (sources médicales), deux à Kairouan pendant l'intervention télévisée.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) appelle au renversement du régime (Service américain de surveillance des sites islamistes (SITE).
14 janvier. Des milliers de manifestants, aux de «Ben Ali dehors», se rassemblent à Tunis et en province, notamment à Sidi Bouzid.
La France encourage le président Ben Ali à «poursuivre» dans la voie de «l'ouverture politique».
En milieu d'après-midi, Ben Ali annonce le limogeage de son gouvernement et la tenue d'élections législatives anticipées. D'un coup, les événements s'accélèrent : l'état d'urgence est déclaré quelques heures avant que le président Ben Ali ne quitte le pays.
Dans la nuit, Ben Ali se réfugie en Arabie saoudite.
15 janvier. Le Conseil constitutionnel tunisien proclame coup sur coup «la vacance définitive du pouvoir» à la tête de l'Etat et la nomination du président du Parlement, Fouad Mebazaa, au poste de président de la République par intérim. Il a pour mission d'organiser une élection présidentielle dans les 60 jours.


 Un autre article sur le sujet :
http://bonjour.news352.lu/index.php?p=edito&id=63742

dimanche 9 janvier 2011

Récapitulatif budget


DJERBA 27 mars au avril 2011

AVION :

Transavia

http://www.transavia.com/hv/main/nav/processflightqry
Nantes le dimanche 27/03 à 15h20 → Djerba à 17h → 88,22 euros
Djerba le dimanche 03/04 à 9h10 → Nantes à 13h05 – 67,60 euros
→ total = 155,82 euros par personne

HOTEL :

Iberostar Mehari Djerba à houmt souk demi-pension

http://www.expedia.fr/pub/agent.dll?qscr=dspv&itty=new&from=m&shtl=1&htid=2802510&crti=0&date1=27/03/11&date2=29/03/11&cadu1=2&mdpcid=expe.fr.001.014.01.ExpediaHotelsFR.HotelDateSearch_Hotel_Review.PoolC&eapid=69-20&&rdct=1
Du 27 au 29 mars inclus : 29 + 29+ 29 = 87
puis du 31 au 3 avril : 37 + 37 + 37 = 111
--> total = 198 euros pour 2 personnes soit 99 euros par personne

El Mouradi à Douz, demi-pension
http://fr.hotels.com/hotel/details.html?reviewOrder=date_newest_first&roomno=1&departureDate=31-03-2011&destinationId=1331258&rooms[0].numberOfAdults=2&tab=prices&arrivalDate=30-03-2011&hotelId=253663&validate=false&destination=Douz%2C+Tunisie
la nuit du 30 au 31 mars : 49 euros la nuit soit 24,50 euros par personne si seulement petit déjeuner ou 59 euros la nuit soit 29,50 euros par personne si demi-pension


LOCATION VOITURE :

http://www.tunisia-rent-car.com/voitures.cfm
du 30 mars 8h au 31 mars 20h : clio : 42 euros soit 21 euros par personne

TOTAL : 155,82 + 99 + 29,50 + 21 = 305, 32 euros par personne + petits achats sur place 


 (Beau boulot Blandine)

mercredi 5 janvier 2011

Cartes et Itinéraire

Liens vers la carte du sud tunisien


http://www.residence-sultana.com/excursion/carte%20sud%20tunisien.jpg

Exemple de carnet de voyage 8 jours en Tunisie
http://www.carnets-voyage.com/afrique-tunisie-carte.htm


Ou alors...

Réservation du vols et hôtels séparément :

1 ) Vols sur Transavia :
http://www.transavia.com/hv/main/nav/processflightqry

 2 ) Hotels :
Houmt Souk :
http://fr.hotels.com/hotel/details.html?pa=2&pn=1&ps=2&reviewOrder=date_newest_first&roomno=1&departureDate=08-03-2011&destinationId=1640209&rooms[0].numberOfAdults=2&tab=description&arrivalDate=07-03-2011&hotelId=347669&validate=false

+ Matmatah
+ Tataouine
+ Douz
+ Zarzis
+ Chenini

Location de voiture

Prix pour 3 jours

Moins cher : 64 euros
http://www.tunisia-rent-car.com/voitures.cfm

Demande de devis à faire :
http://www.tunisiecars.com/nostarifs.html
La journée à 25 euros

Les trucs à voir aux alentours de Zarzis

 Que faire à Zarzis ? 


Exactement les mêmes excursions sont possibles depuis Zarzis que depuis Djerba (cf. ci-dessous)

Vous pouvez commencer par demander à un taximan de vous emmener faire le tour de Zarzis et de ses environs (+/- 15 à 20 dinars selon le tour), moins cher que dans les hôtels ou par le TO et, de plus, vous faites vivres les habitants de Zarzis même.
Pour faire un aller-retour en taxi « privé » jusque Djerba (Houmt Souk ou Midoun) simplement, compter +/- 30 dinars aller-retour.
Le dinars vaut +/- 0,59 € pour vous donner une idée (1 € = 1 ; 68 TND)

Pour faire un tour de Djerba avec un taxi qui vous montrera les bons coins et fera des commentaires bien plus « sur mesure » qu un guide d’hôtel ou de Tour operator (qui, en outre est plus cher souvent), comptez, pour une journée +/- 60 TND.

A voir à Zarzis:
La grande mosquée
Le musée de Zarzis (en descendant vers le port)
Il y a quelques très belles amphores et des vestiges archéologiques intéressants sur l'histoire de la ville et la culture des olives.
Le Souk aux bijoux
Où vous pouvez faire quelques belles affaires si vous vous y connaissez un pau.
Le marché berbère le mercredi matin
un des derniers marchés de dromadaires avec ceux de la frontière libyenne.

A voir à Djerba :
La Ghribba (la plus vieille synagogue du monde)
L'intérieur est splendide !
A Midoun, allez boire un thé au CHIKHRAN CAFE, près de l’Université : décor superbe est excellent thé au pignon (entre autre). Comme le dit son nom, on y fume la chicha (ils en ont de très belles)
A Guellala (village des potiers, voir un artisan potier et le petit musée de la vie traditionnelle vraiment très agréable et intéressant.
Le Fort espagnol
Si vous avez de jeunes enfants (mais des adultes aiment aussi, « Djerba Explore », parc touristique et son « île au x crocodiles » où vous verrez des sauriens du plus petit (y compris les œufs que les plus gros.
Et bien sûr, la visite de l'île en dehors de la zone touristique

Les excursions:
En dehors du tour de Zarzis et de Djerba, voici les excursions possibles à faire (septembre - octobre est idéal pour le sud: pas trop chaud le jour (mais plus froid la nuit dans le désert)

MATMATA (vieille ville)
village troglodyte, superbe il y a encore 20 ans mais il est TRES envahi par les touristes (passage obligé de toutes les excusions des TO) et encore plus depuis que George LUCAS y a tourné "l'Attaque des clones" de STAR WARS en 2000. (Il reste des éléments du décor et vous serez dirigés immanquablement vers des boutiques de souvenirs)
Donc, si, faute de temps, vous devez faire un choix, je vous conseille de réserver cette visite pour un séjour à une période moins touristique (mars par exemple) et de privilégier le Grand Sud.

MEDENINE:
A voir les petits marchés face à l'hôtel El Hanau, le centre de Medenine ave les souks et les ghorfa, près de la place du 7 novembre, au centre (greniers à grains) Mais ne faites qu'y passer rapidement car les anciens greniers à grains ont été transformés en boutiques pour touristes, ils sont installés sur une place ovale pratiquement fermée et vous aurez l'impression (un peu réelle) d'y être piégés.

TATAOUINE:
Là des paysages grandioses (décors d'autres épisodes de "la guerre des étoiles" de G LUCAS)
a voir un petit musée sur la route, entre Tataouine et Chenini, le musée "mémoire de la Terre" en face de l'hôtel Mabrouk (restes de dinosaures trouvés dans la région puisque, il y a 100.000.000 d'année, cette région comptait ...des forêts)
Le souk à Tataouine : spécialité de la ville: les "cornes de gazelle" (pâtisserie réputée dans toute la Tunisie)

CHENINI:
Magique ! Village forteresse avec des greniers à grains creusés dans la montagne qui est encore habité.
J'y vais à chacun de mes séjours, j'adore ce lieu.
Un conseil, si vous y allez un dimanche, il n'y a pas les visite des écoles tunisiennes (leçons d'histoire) et donc, moins de monde.

LES KSOUR (forteresse perchées dans la montagne pour y garder les greniers à l'abri des attaques)
A visiter en fin d'après midi quand le soleil tombe, principal intérêt touristique de la région
Beaucoup sont en ruines mais des efforts de restauration ont commencé.
Je préfère ceux du sud et, surtout.... KSAR GHILANE, porte du Sahara, merveilleuse oasis surgie d'on ne sait où

Vous trouverez dans tous les guides sur la Tunisie la description des villes de
KEBILI et DOUZ (passer une nuit dans le désert, expérience unique mais, malheureusement, depuis quelques années, vous n'êtes plus tout seuls !) Le "Festival du Sahara": joutes poétiques en arabe: il y a des touristes mais autour d'eux une masse de tunisiens. Renseignez vous sur les dates auprès de l office de tourisme, elles dépeint du ramadan qui, cette année débute du 23 ou24/09 jusque fin octobre. (Différente du "festival du tourisme saharien" créé pour les touristes)

Oasis de NEFTA, TOZEUR, GAFSA etc...
Une expérience dans le Grand sud (et encore plus si vous passez une nuit dans le désert) restera gravée dans vos mémoires.

Quelques restaurants :
Pour ce qui est des restos, si vous voulez aller manger en dehors de l’hôtel, vous avez un large choix.
Voici ceux que je fréquente le plus depuis 5 ans (4 fois par an) mais il y en a d'autres que des membres cde ce forum, habitués de Zarzis comme moi, vous indiqueront.
• « Abou Nawas » « Chez Charly » dans la même rue que le Zita, à 200 m en direction de Zarzis centre (cuisine tunisienne et européenne excellente, salle climatisée, nappes en tissu sur les tables, service rapide et très sympa mais les prix sont plus « touristiques »)
• « La Thonière » Cuisine excellente, plus raffinée et ...prix plus élevés (sur la plage près de la zone touristique de Sangho)
• Sur la Route vers Djerba, dans le quartier de Sangho (près des hôtels GIKTIS, SANGHO et ODYSSEE)
- « le Dauphin bleu » (à gauche après le virage)
- »La Jardinière » (près de l’hôtel Oasis Marine)
- »La Falaise » (face à l’hôtel GIKTIS)

Malheureusement, El Bibene , dans Zarzis, qui était l'un des meilleurs n'existe plus vient de faire place à…une banque depuis 2 mois (il est encore indiqué dans le guide du routard 2006)
• Si vous dis^posez d’une voiture de location sur place, vous pouvez aller manger dans les restaurants de poisson à Sefed, à 25 ‘ de la zone touristique, (les deux premiers et le premier a généralement plus de choix de poissons que le second3) sur la route de Medenine
Confort « spartiate » mais poissons extra frais (dans les hôtels, on vous sert évidemment du poisson congelé sauf dans les restaurants « à la carte » en supplément) et grillé immédiatement : divins et repas complet pour 10 dinars

• BOUTIQUES :
- la maison de l’Artisanat dans le centre de Zarzis (près du café de Paris (prix fixes)

- « La Différence » boutique de souvenirs « différents » dans le quartier Sangho (zone touristique)
au-dessus des hôtels ODYSSEE, GIKTIS et SANGHO dernière boutique à droite sur la route de Djerba

- « Art poterie », boutique de poteries et objets de décoration 100 ma à droite avant l’hôtel ZITA, dans le quartier de Souihel sur la route allant de la Zone touristique SANGHO à Zarzis centre.
Prix et durée indicatives  : 


EXCURSION TATAOUINE / CHENINI - Durée : 1 journée - Prix : 29 euros par personne :
Départ de Djerba pour Médenine par la chaussée Romaine, arrivée a Médenine et visite des Ghorfas, anciens greniers fortifiés.
Route sur Tataouine, visite du marché hebdomadaire. Continuation sur Chenini, village d'origine berbère perchée sur une petite montagne que l'on peut escalader pour visiter les fameuses tombes des 7 dormants. Déjeuner.
Départ pour Ghomrassene par Ksar El Farch, arrêt photos et visite du village Ksar Haddada.
Retour à Djerba par la chaussée Romaine.

EXCURSION MATMATA / DOUZ - Durée : 1 journée - Prix : 45 euros par personne :
Départ via Mareth pour la ville de Douz, la porte du Sahara, visite du marché. Arrivée au village de Zaafrane, possibilité de promenade à dos de dromadaires (facultatif, environ 9 euros) pour admirer les immenses dunes de sable. Après le déjeuner à Douz, continuation vers Matmata, visite d'une maison troglodyte et découverte du paysage lunaire qu'offre la région.
Retour sur l'île de Djerba.

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